Les Canadiens du Queen's Own Rifles et du régiement
de la Chaudière débarquent sur la plage de Bernières-sur-Mer.
La plage est protégée par des pieux, elle est bombardée
à à 4h00 du matin. Les péniches arrivent sur la plage
à 8h10, 100 m restent à parcourir pour atteindre la plage.
Les soldats canadiens avancent sous un déluge de fer, la plage
est arrosé d'obus et balayée par les mitrailleuses. 86 embarcations
sont détruites. Le front de mer est libéré dans la
matinée. A 11h45 le major-général Keller installe
son poste de commandement dans l'hôtel de la plage.
Langrunes-sur-Mer
Stèle dédié
au 48ième commando du Royal Marines des forces britanniques.
Soldats allemands tués
à Langrune après un raid de commandos.
Le capitaine Clayton, un
ancien officier de la "Birmingham City Police" guide un
convoi des "Press Jeep", les correspondants de guerre.
Des combats très dur ont lieu
dans cette commune, Les maisons du front de mer sont fortifiées
par les allemands. Le commando n°48 libère cette commune le
7 juin vers 15h30. La moitié des effectifs du commando sont perdus.
Saint-Aubin-sur-Mer
Batterie de Saint-Aubin-sur-Mer
avec sa pièce de 5 cm KwK. Les batterie Kwk proviennent de
char obsolète (Sockellafette für 5 cm Kampfwagenkanonen).
Portée de 6,5 km, 15 à 20 coup minute.
Vue de la plage à
partir de la batterie KwK de Saint-Aubin-sur-Mer.
Monument dédié
au "North Shore" et 48ième Royal Marines.
Le régiment du North Shore
débarque en première vague et fait face à une forte
résistance. Les allemands utilisent un canon de 50 mm et de nombreuse
mitrailleuses. Après la libération du front de mer le 48°
Royal Marine Commando débarque à son tour avec pour objetcifs
la libération de Langrune-sur-Mer.
Douvre-la-Délivrande
Intérieur du cimetière
de guerre de Douvre-la-Délivrande
Entrée du cimetière
de guerre de Douvre-la-Délivrande
cimetière de guerre
de Douvre-la-Délivrande. Tombe d'un soldat allemand.
cimetière de guerre
de Douvre-la-Délivrande. Tombe d'un soldat inconnu.
Proche de la commune sur la route
de Basly se trouve une station radar appelé "Distelfink"
(le chardonneret). A 2 km de la mer, la station surveille les mouvements
de navire britannique. La station radar est équipé de deux
radar Freya, l'un de type Wasserman d'une porté de 300 km, l'autre
de type Würzburg. La station est protégé par une DCA
et des canons anti-chars. Le jour J les alliés parviennent à
brouiller (opération de jamming) le radar qui ne voit donc pas
les navirs alliés aux larges des côtes. La prise de la station
radar dur 11 jours, du gaz est injecté dans les bouches d'aération.
La commune est libéré le 6 juin, et sert de quartier général
au général-major G. Francoeur.